De retour à la maison à 16h, il ne faut pas traîner : les enfants de l’école d’Abigaïl nous attendent depuis ce matin. Nous partons donc immédiatement vers l’école. A 16h50, nous y voici enfin, et surprise, tous les enfants sont encore présents alors qu’ils finissent à 16h30. Nous sommes accueillis par des cris de joie de la part des élèves. Nous nous rendons dans la classe de CM1 où nous récupérons les dessins destinés aux élèves de l’école de Thuit-Signol. Ensuite nous assistons à la baissée des couleurs et au départ des enfants en chanson. Avant de partir, nous donnons 2 énormes sacs de matériel au professeur. Nous rentrons préparer nos bagages. Après dîner, nous partons, une dernière fois, boire un verre en ville. Il est 0h30 et nous nous rendons à l’aéroport. Les adieux sont brefs car l’émotion est aussi forte des deux côtés. Demain, nous serons en France, mais nos esprits seront certainement encore en Afrique.
Cette association a pour objet de fédérer de bonnes volontés en faveur du continent Africain. Elle vise à favoriser les échanges de savoir-faire entre le continent Africain et le Pays du Roumois. Ainsi qu'à sensibiliser, informer et mobiliser les différents publics aux enjeux du monde Africain : santé, développement, culture, éducation à travers des évènements qui permettront de mobiliser des fonds pour financer des projets tournés vers un pays Africain.
mardi 15 mars 2011
Vendredi 11 mars
De retour à la maison à 16h, il ne faut pas traîner : les enfants de l’école d’Abigaïl nous attendent depuis ce matin. Nous partons donc immédiatement vers l’école. A 16h50, nous y voici enfin, et surprise, tous les enfants sont encore présents alors qu’ils finissent à 16h30. Nous sommes accueillis par des cris de joie de la part des élèves. Nous nous rendons dans la classe de CM1 où nous récupérons les dessins destinés aux élèves de l’école de Thuit-Signol. Ensuite nous assistons à la baissée des couleurs et au départ des enfants en chanson. Avant de partir, nous donnons 2 énormes sacs de matériel au professeur. Nous rentrons préparer nos bagages. Après dîner, nous partons, une dernière fois, boire un verre en ville. Il est 0h30 et nous nous rendons à l’aéroport. Les adieux sont brefs car l’émotion est aussi forte des deux côtés. Demain, nous serons en France, mais nos esprits seront certainement encore en Afrique.
Jeudi 10 mars
Le jour se lève à peine et nous sommes déjà en plein travail : chargement du véhicule pour une longue journée avec une nuit prévue sur la plage d’Aneho. Alors que nous sommes prêts à partir, un coup de téléphone va bouleverser tout le programme. La compagnie aérienne qui devait nous échanger nos billets de retour gratuitement, nous informe qu’elle ne rembourse plus les billets. Nous nous rendons immédiatement à l’agence qui nous annonce que nous devons payer nos billets de retour. Le problème est qu’il n’accepte que du liquide. Il nous faut trouver 1 200 000 F cfa ( 1800€ ) en un temps record. Alain réussit à récupérer la moitié de cette somme et nous demandons à Matthias de nous avancer l’autre moitié. Il est 15 h et le problème est enfin résolu, mais le programme de la journée est annulé. De plus, Alain et Michel apprennent qu’ils ont rendez-vous à 20h sur la chaine TV2 pour une émission en direct. Nous profitons de ce contre temps pour aller faire des emplettes au Grand Marché de Lomé.
Mercredi 9 mars
lundi 14 mars 2011
Mardi 8 mars
Les enfants chantent pour nous et applaudissent dès que nous prenons la parole. Nous partons ensuite directement vers l’hôpital où nous déposons lits, fauteuils et divers matériel médical qu’Hélène est allée chercher à Lomé avec notre chauffeur pendant le repas. Le timing étant très serré, nous enchaînons directement sur un orphelinat. Il faut avouer que les moments les plus difficiles émotionnellement depuis le début du Raid ont eu lieu soit dans les dispensaires, soit dans les orphelinats.
Sur cet orphelinat, 2 personnes gèrent 122 enfants, récupérés pour certains, dans des conditions que nous ne pouvons décrire sur le blog. Ces enfants, de 1 jour à 17 ans vivent dans un espace réduit, seule la moitié dort dans des chambres, les autres dorment dehors. Un lit sert à 3 enfants. Leur seul moyen de survie, c’est le travail des champs où les plus grands participent à la vie du centre. Mais cela ne leur assure qu’un seul repas par jour quand la saison pluvieuse est bonne. Le départ de ce centre a été très difficile, le coach voulant repartir avec 2 petites jumelles de 2 mois. Mais, il se fait tard et il est temps de rentrer sur Lomé. Nous arrivons enfin à la maison, il fait nuit et nous déchargeons les véhicules. Une fois les véhicules déchargés, pas de temps de repos, nous partons directement vers le John Palace Hôtel où nous sommes invités à passer la nuit par le propriétaire : Nous sommes devenus de vraies stars au Togo. Après une douche bien méritée, nous partons dîner dans un Mac Do Africain et finissons notre nuit en boîte de nuit. Il est 2 heures du matin et nous rentrons nous coucher.